90 minutes d’enquête engagée dans neuf pays (France, Allemagne, Pays Bas, Norvège, Suède, Angleterre, Chine, Japon, Usa). Une cinquantaine d’intervenants parmi lesquels des témoins historiques, des industriels, des politiques où encore des chercheurs, tel est le dispositif de mise en scène pour « La face gâchée du nucléaire », le documentaire de Myriam Tonelotto qui a réuni une coproduction internationale d’envergure au service de ce projet ambitieux : Citizen films, Innervision, Arte, More films, et Juliette films.
« La face gâchée du nucléaire » nous plonge dans une enquête sur une technologie nucléaire révolutionnaire et pourtant mise sur la touche depuis plus de 70 ans par l’industrie. Ce réacteur aux sels fondus nous promet 1500 fois moins de déchets produits en fournissant 50 fois plus d’énergie, tout en garantissant une sécurité optimale sans fonte, ni explosion. Et pourtant, cette alternative verte aux procédés polluants et trop souvent dévastateurs n’a jamais pu voir le jour …
La force du sujet et l’originalité du traitement mêlant prise de vue réelle et animation, a naturellement su convaincre de nombreux financeurs de s’engager à nos côtés : le CNC, La Procirep / Angoa, MEDIA, Film fund Luxembourg, les régions Alsace, Lorraine et Rhône Alpes. Sept chaînes issues du monde entier ont été séduites par le projet : Arte / NDR et France 3 pour la France et l’Allemagne, TG4 pour l’Irlande, SVT pour la Suède, RTS pour la Suisse, RTL pour le Luxembourg, et NHK pour le Japon.
L’engagement d’ Innervision sur ce projet lui permet de se distinguer une fois encore, et d’affirmer sa volonté de produire des films importants et au spectre de diffusion international.